Odeurs Intimes

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il y a 4 ans

Jean-Pierre poussa la porte du café. Il était onze heures du soir. Après avoir erré comme une âme en peine dans les rues de la petite ville, il éprouvait l’envie irrésistible de se rincer le gosier.

L’établissement était presque vide. Au comptoir, deux clients, des habitués, échangeaient leurs impressions sur le dernier match de l’équipe nationale de foot, sous l’œil indifférent du patron.

À une table, un verre de Martini à moitié vide attendait sans doute le retour d’un client. Après avoir commandé un whisky, Jean-Pierre se dirigea vers les toilettes. Les verres de bière qu’il avait absorbés plus tôt dans la soirée lui pesaient sur la vessie.

Au bas des marches, il trouva facilement les urinoirs. En se soulageant, il entendit un bruit familier. De l’autre côté de la mince cloison, dans les toilettes-dames, un jet puissant frap­pait l’eau de la cuvette. On entendait même le sifflement caractéristique de la pisse au passage des petites lèvres ­resserrées.

Dans la main de Jean-Pierre, le pénis ne restait pas insensible au stimulant auditif. Il prenait du volume, de la fermeté ; le prépuce se rétracta, découvrant le gland luisant.

Dans la cabine voisine, le jet de la fille diminuait d’intensité. Bientôt, des clapotements entrecoupés de soupirs firent comprendre au jeune homme que la source se tarissait. Il s’attendait à entendre un froissement de papier sur la chatte humide de l’inconnue : un son qui l’enchantait toujours.

Rien ne se produisit, si ce n’est le glissement d’une culotte et de bas nylon le long d’une paire de jambes. Sans doute, le pingre propriétaire du boui-boui n’avait-il pas renouvelé le rouleau ­hygiénique…

Jean-Pierre avait fini de pisser depuis un moment, mais il demeurait immobile, sur place, curieux de découvrir le visage de la pisseuse. Mais peut-être, après tout, n’était-ce qu’une grand-mère de soixante-dix ans ! La poignée s’ouvrit après quelque hésitation. Une jeune femme aux yeux hagards apparut. Elle ne devait pas avoir plus de vingt-huit ou trente ans ; des cheveux en bataille entouraient un visage d’aspect plaisant.

La fille se dirigea en titubant vers l’escalier, qu’elle entreprit de gravir en s’accrochant à la rampe. À mi-chemin, elle se tordit la cheville. L’instant d’après, elle dévalait les marches en poussant des cris de frayeur. Jean-Pierre se précipita et offrit d’aider la malheureuse à se relever.

  • Rien de cassé ?

Il n’était pas pressé de tendre la main à la jeune femme. Étourdie, celle-ci ne s’était pas rendue compte que sa jupe soulevée dévoilait ses cuisses. Le bas qui gainait la jambe était parcouru d’une flèche qui invitait le regard à remonter jusqu’à la fourche.

La fille se releva péniblement, en grimaçant de douleur. Elle accepta avec une expression de reconnaissance le secours qu’on lui offrait. Pour l’aider à rejoindre la salle du haut, Jean-Pierre lui prit le bras, qu’il enroula autour de son cou.

Une odeur de transpiration chatouillait les narines du garçon. Jetant un coup d’œil de biais sous le bras qu’il soutenait, il aperçut une auréole à hauteur de l’aisselle. La fille avait transpiré ; et son déodorant l’avait abandonnée depuis un bon moment.

Un autre que Jean-Pierre aurait été incommodé par l’odeur. Lui, au contraire, était aux anges. De tout temps, il avait été attiré par les odeurs intimes des femmes. Chaque fois qu’une occasion s’offrait de satisfaire son odorat hyper sensible, il en profitait.

Bras dessus bras dessous, tous deux rejoignirent la salle du café. Jean-Pierre guida sa compagne vers la table qui supportait le demi-verre de martini. Il s’installa en face d’elle et engagea la conversation. La jeune femme, qui se prénommait Bernadette, était célibataire.

Elle raconta à son compagnon que, prise de déprime, elle était allée seule au cinéma. Ensuite elle s’était consolée de sa solitude au moyen de quelques verres d’apéritif. C’était tout ce qu’elle avait trouvé pour se remonter le moral. Généralement, son ivresse était éphémère : les effets euphorisants disparaissaient au bout de quelques heures, lui laissant un goût amer dans la bouche.

Au moment de sa rencontre inopinée avec Jean-Pierre, Bernadette se trouvait dans un état d’esprit morose, mais réceptif. Encore étourdie par sa chute, elle s’était demandé ce que lui voulait ce type.

Elle lui avoua que les verres d’alcool qu’elle avait ingurgités lui avaient brouillé les idées. Mais, à présent qu’elle était bien installée sur sa banquette, elle reprenait de l’assurance et soutenait aisément la conversation avec son vis-à-vis.

Quand Jean-Pierre voulut commander une nouvelle consommation, le patron lui fit comprendre qu’il était l’heure de fermer. Cinq minutes plus tard, les deux jeunes gens se retrouvaient ensemble dans la rue. Une vilaine pluie s’était mise à tomber. Jean-Pierre proposa à Bernadette de la reconduire chez elle. Elle accepta sans hésitation. Ils prirent le chemin du quartier Roture.

Il remarqua que la fille exagérait sa claudication. Sans doute était-ce pour elle un bon prétexte pour donner le bras à son compagnon, et aussi pour dissimuler son manque de stabilité dû à l’alcool. Tout naturellement, pour le remercier, elle lui proposa de monter boire le dernier verre chez elle. Jean-Pierre prit place dans le fauteuil qu’elle lui proposait. Tout en sirotant un scotch, il admirait les jambes de la maîtresse des lieux installée en face de lui. Elle avait des mollets musclés, et des cuisses que la position assise arrondissait encore davantage. ça tombait bien : Jean-Pierre n’avait jamais aimé les maigrichonnes. Et la paire de seins de Bernadette, que son décolleté mettait en valeur, l’attirait de façon irrésistible.

À un moment, il vint s’asseoir à ses côtés, sous prétexte de feuilleter avec elle l’album de photos qui la représentait e n f a n t et a d o l e s c e n t e. Il en profita pour humer l’odeur que dégageait son corps.

Quand il l’embrassa, il eut dans la bouche le goût sucré du Martini dont elle avait abusé. Il en éprouva comme un vertige. Ses mains partirent sans tarder à la découverte des rondeurs qui l’avaient appâté. Tout en échangeant avec elle de longs baisers, auxquels elle répondit lascivement, il palpait les nichons, qu’il parvint à ­dégager de l’échancrure de la blouse. Il y posa délicatement les lèvres ; ses doigts remontaient lentement le long du bras.

Il constata avec étonnement que l’aisselle en sueur était garnie de nombreux poils, qu’il caressa avec voracité. Voulant en voir davantage, il entreprit de la déshabiller ; mais, là, il se heurta à une ­résistance.

  • Non, je t’en prie… je ne suis plus très fraîche…

Jean-Pierre était perplexe. Comment faire comprendre à la fille que c’était précisément son odeur naturelle qui le séduisait ? Il la fit taire en l’embrassant sur la bouche.

Il recommença sa tentative quelques minutes plus tard, avec plus de réussite. Dès qu’il en eut l’occasion, il enfouit le nez sous le bras de sa nouvelle copine. Du bout de la langue, il recueillait des phéromones abondantes, riches, qu’aucun déodorant n’avait altérées.

Les odeurs féminines n’attiraient pas Jean-Pierre à tous les coups. Ainsi, un jour, il était tombé sur une fille qu’il ne pouvait pas « sentir ». Les émanations qu’elle diffusait, animales à souhait pourtant, le rebutaient. Dès qu’elle s’approchait de lui, il éprouvait une répulsion qu’il ne parvenait pas à s’expliquer. Il n’aurait pas été capable de la caresser, encore moins de lui faire l’amour…

La découverte du corps de Bernadette, de ses rondeurs et de ses odeurs, troublait Jean-Pierre au plus haut point : sa queue se dressait sous le pantalon.

Bernadette s’en rendit compte et prit l’initiative de le déshabiller. Et elle souleva les fesses pour faciliter la tâche du jeune homme qui lui retirait sa jupe. Elle prit un air effrayé quand elle s’aperçut qu’il plongeait la tête entre ses cuisses écartées. Elle se souvenait des toilettes du café où ils s’étaient rencontrés ; elle avait dû, faute de papier hygiénique, se rhabiller sans s’essuyer. De plus, sa journée de travail ayant été éprouvante, elle avait énormément transpiré.

Le visage marqué par la honte, elle cherchait à repousser la tête du garçon, mais celui-ci tenait bon, heureux de l’aubaine. Elle finit par s’abandonner. Jean-Pierre obtenait enfin ce qu’il désirait tant. Le slip de la fille présentait, à la fourche, une tache jaune d’origine indubitable : son odorat était trop exercé pour s’y tromper.

Il introduisit, entre la peau et le coton, sa langue qu’il fit frétiller pendant de longues minutes. Finalement, il retira à regret le slip de la fille, pour s’attaquer directement à la chatte. Bernadette était B e s t i a l ement velue. La toison qui recouvrait son mont de Vénus, au lieu de présenter une forme classique en triangle, était carrée et plus large que la normale.

Une languette de son épais buisson remontait vers le nombril, où venaient mourir les dernières bouclettes. L’intérieur des jambes, particulièrement soyeux, n’avait pas été rasé depuis longtemps. Les poils d’un noir de jais tranchaient sur la blancheur des cuisses.

Jean-Pierre reprit son exploration ; ses lèvres se posèrent sur les poils autour de la vulve. Les relents de pisse dominaient, mais le nez du jeune homme reconnut aussi un mélange de sueur et de mouille, comme en dégagent les femmes quand elles sont vraiment très excitées.

Jean-Pierre fit un effort pour se détacher de son plat préféré. En effet, la fille commençait à s’impatienter. Elle avait saisi la queue, d’où pendait un filet de mouille, pour y déposer ses lèvres. Le gland barbouillé avait un goût âcre, mais cela n’empêchait pas Bernadette de manifester du plaisir en l’embrassant. D’ailleurs, le garçon n’avait-il pas osé faire minette à sa chatte encore pleine de pisse !

La fellation eut pour effet de faire se contracter la verge. Jean-Pierre avertit sa partenaire qu’elle risquait de provoquer son éjaculation prématurée. Peu après, il la chevauchait dans la position du missionnaire. Leurs lèvres se joignirent ; ils échangeaient leurs salives, mais aussi les sécrétions recueillies sur le sexe de l’autre.

La séance les laissa à bout de f o r c e s, et de souffle. Ils avaient joui de façon très intense, et il était tard. Ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, pour ne se réveiller qu’au petit matin. Jean-Pierre et Bernadette étaient dégrisés, sans éprouver de regret pour ce qui s’était passé la veille. Mais la soirée bien arrosée leur avait donné la gueule de bois. Ils échangèrent un dernier baiser, avec l’intention de ne pas en rester là, et de se revoir au plus vite.

Il fut décidé que Jean-Pierre passerait prendre Bernadette dès le lendemain soir, pour l’emmener au restaurant. Quand il fut parti, elle revint dans sa chambre, sourire aux lèvres, et examina l’étendue des dégâts. Sur le lit dévasté, les draps défaits présentaient des taches révélatrices, et l’air dégageait une assommante odeur de stupre.

Bernadette attendit un peu avant de remettre de l’ordre dans sa chambre : elle préférait évoquer le souvenir de sa nuit d’amour. Elle se recoucha et se roula dans les draps moites. Elle cherchait en vain sa culotte. Étonnée, contrariée, elle finit par soupçonner Jean-Pierre. Avait-il profité d’un moment d’inattention de sa part pour la fourrer dans sa poche ? Loin de s’en irriter, elle se sentait rassurée : n’était-ce pas de bon augure pour la suite de leur histoire ?

PIROTON Pierre

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